Ptite visite

Les mains d'Olivia s'activaient maintenant sur son mandrain. Les douces caresses de sa partenaire ne prirent longtemps a faire son effet. Les mains d'Olivia étaient douces et précises à la fois. T'es sur que tu veu continuer dans cette voie la? Demanda John les yeux ds l'beure

Non, plus envie, j'ai faim.

Elle se leva en riant. Puis décendit, ouvra le pot de scauce et sorti des caserolles.

John, pendant qu'ollivia s'occupait du souper, s'amusait a l'exiter daventage. Il passait derriere elle, embrassait son cou et ses épaules... passait ses mains sur ses petites fesses ki n'étaient pas chatouilleuse. Puis, les passait sur les hanches... pubis.. puis...

J'ai presque finit, finit-elle par dire d'un ton enjoué. Attend moi la...

Elle poussa John par les épaules sur un de ses énormes sofa (ou il rebondit joyeusement huhu) et se dirigea vers la salle à manger, une laitue, des legumes et des fruits dans les mains.

Quelques minutes plus tard, n'étendant plus rien dans la salle d'à côté, John se leva et se dirigea vers lapièce ou Olivia était entrer quelques minutes plus tôt. Surpris, il la découvrit à nouveau nue, allonger sur le os, appuyer des ses coudes, sur un lit de salade, entrain de manger une pomme.

Le souper est servi. dit elle d'une voie sensuelle, tout en jettant sa pomme dans le bol a salade placé par terre (faut pas le casser !).

J'avais justement un petit creu.. Envoya john, presqu'en murmurant. il s'avanca lentement vers sa proie, toujours en la regardant droit dans les yeux avec un regard si pervers qu'il en fait peur. John rejoignit sa compagne sur le lit de salade. Ça fait pas un peu trop de bruit, la salade?

Olivia s'allongea de tout son long sur la table, prennant une pose sensuelle, les bras en arrière de sa tête, laissant à la vue de John tout son sublime corp. Tout en continuant de le regarder dans les yeux elle sourit légèrement, respira profondément et répondit d'un ton moqueur; « À la manière que tu me regarde, c'est pas du bruit de la laitue dont il faut s'inquiéter.

J'nai plus d'objection, Mme la juge...Soufla John à l'oreille d'Olivia avant de l'embrasser. Le cowboy (c'est bien comme sah kon apelle un dompteur de vache?) passa son bras autour de la taille de sa compagne pour qu'elle se raproche de lui.

C'est la présidente qui se fit plus précise la premiere. Après l'échange de plusieurs fougeux baisers, sa main descendit le long du torse de John jusqu'a atteindre sa virilitée.

*En avez-vous déjà eu?* pensa-t-elle lorsque le bel homme se pencha sur elle pour l'embrasser.

Après plusieurs baisers brûlants de désir, Olivia entreprit de reprendre la où elle les avait interrompu. Sans se pressée, elle glissa ses longs doigts le long du torse de John, du bout des ongles, le frôlant à peine, provocant des petits frissons au dompteur de vache. (ahah)

Lorsqu'elle arriva là-où-il-faut, elle s'empara de la «virilité» de son amant. D'abord doucement puis de plus en plus fermement elle s'activa à faire oublier la courte pose qu'ils avaient prit par sa faute. Tout en faisant aller sa main, variant les rythmes, les forces et les manières de, elle se rapprocha encore plus de lui pour sentir l'odeur envoutante qu'il dégageait. De ce fait, elle ne fut pas surprise de sentir assez rapidement la respiration chaude de John sur sa propre peau, écoutant et ressentant avec délice le fruit de ses caresses.

La repiration de john s'accellerait. Il savait que le point de non-retour se raprochait. John fit donc basculer sa compagne sur le dos, la fesant ainsi lacher son mendrain.

À mon tour de m'occuper de vous, Mme. la Présidente...

Leurs levres se raprochairent jusqu'à se qu'ils puissent repirer le soufle de l'autre. Quand Olivia tenta d'embrasser John, celui-ci se retira et alla droit vers son cou. Le frisson fut intense. Les levres du jeune amant désendait maintenant vers le buste d'Olivia.

Olivia ne se fit pas prier, elle avait toujours adoré que l'on s'occupe d'elle.

Ne comprennant pas le premier geste de John, qui ne se laissa pas embrasser, elle fut agréablement surprise de sentir les lèvres chaude de selui-ci parcourir son cou. Fermant les yeux, elle se délecta des moindre contacts que son amant créait pour elle.

Elle glissa ses deux bras derrière lui; allant d'une main vers la nuque et de l'autre un peu plus bas, dans le dos.

Une autre surprise, pas moins agréable: John descendit vers ses mamelons déjà durs. Les yeux toujours fermés, Olivia ne pu s'empêcher de sourir et frissona de plaisir, enfonçant doucement ses ongles dans le dos de son amant.

John entandait la respiration de sa Psychée s'accelerer.
*Comment une si belle femme peut-elle s'interesser à moi???* Pensa-t-il.

Arretant ses pensées la, il mordilla lentement le mamelon gauche d'Olivia. La réaction fut instantannée. La jeune femme enfonca ses ongles dans la chair du dos de John.

Celui-ci comprit le message et appuya un peu plus ses caresses...

Sous les caresses de plus en plus indécentes du bel homme, Oliva ne pu se retenir de, lentement, resserrer l'étreinte; sa main droite, posée sur la nuque de son amant, se fit plus ferme (elle ne voulait pas qu'il s'en aille tout de suite); les ongles de sa main gauche, perdus quelque part dans le dos de l'apollon, s'enfoncèrent un peu plus profondément; et ,tentant d'offrir encore plus son buste à la bouche gourmande qui mordait doucement son mamelon, elle étira son cou vers l'arrière et courba le dos.; ainsi elle présentait à John ses deux petits seins, ressemblant à deux fruits mûres qui ne demandaient qu'à être croqués.

Sa peau devient alors un peu plus chaude, un peu plus humide... de partout. La jeune femme mordit de plaisir sa lèvre inférieure, les yeux toujours fermés.